SANI ABACHA MORT PAR CONSOMMATION EXCESSIVE DE…VIAGRA
Le président général Sani Abacha qui a dirigé le Nigeria de 1993 à 1998 était considéré de son vivant comme l’un des hommes les plus méchants qui ait existé.
Avant de parvenir au pouvoir en interrompant un processus démocratique en cours en 1993, sans jamais paraître au premier plan, il avait été la cheville ouvrière de la demi douzaine de coups d’Etats qu’avait connu le Nigeria au cours des 20 dernières années.
Dès son accession au pouvoir, ce professionnel des coups d’Etat avait mis en place un gouvernement fantoche composé de militaires, pour la plupart des généraux et des officiers supérieurs de la police. Obsédé par le contrôle des institutions de l’Etat et des citoyens, grâce aux services de renseignement (State Security Services), il avait fait de la presse et des opposants au régime des ennemis publics.
C’est ainsi qu’il avait embastillé l’ex-président et général Olusegun Obasanjo qui n’avait eu la vie sauve que grâce à l’intervention de plusieurs chefs d’Etat africains. Et Moshood Abiola, vainqueur à la régulière de la présidentielle de 1993 qui finira par mourir en prison en 1996. L’année d’avant, le dictateur aux lunettes noires avait fait pendre l’écrivain Ken Saro Wiwa et ses compagnons militants des droits de l’homme.
Pour faire diversion et régler ses problèmes internes, il avait engagé son pays dans un conflit militaire avec le Cameroun par rapport à la péninsule de Bakassi, dont la souveraineté camerounaise avait été pourtant reconnue par le Nigeria dirigé par le général Gowon lors des accords de Maroua en 1975.
Alors que ses services de sécurité étaient déjà en place et qu’on l’attendait à Ouagadougou pour un sommet de l’organisation de l’unité africaine, l’annonce de sa mort le 8 juin 1998 avait surpris plus d’un. Officiellement, on avait parlé d’une crise cardiaque.
Mais selon le célèbre magazine nigérian Newswatch, il s’agissait plutôt d’un excès de Viagra alors que le dictateur était en plein ébat avec des prostituées Libanaises ou Russes. Selon Newswatch: « Le général Abacha, 54 ans, était connu pour apprécier la compagnie des prostituées. Une des rumeurs qui courent sur sa mort est qu'il a été pris de convulsions alors qu'il se trouvait au lit avec deux femmes. L'une d'elles serait sortie de la chambre en hurlant »…
Du côté de ses partenaires de la Junte militaire, sa mort avait été vécue avec soulagement. L'histoire révélera que, tel Joseph Staline, Abacha projetait de réaliser une purge en exécutant un certain nombre de ses compagnons.
Par Thierry Ngogang
Dès son accession au pouvoir, ce professionnel des coups d’Etat avait mis en place un gouvernement fantoche composé de militaires, pour la plupart des généraux et des officiers supérieurs de la police. Obsédé par le contrôle des institutions de l’Etat et des citoyens, grâce aux services de renseignement (State Security Services), il avait fait de la presse et des opposants au régime des ennemis publics.
C’est ainsi qu’il avait embastillé l’ex-président et général Olusegun Obasanjo qui n’avait eu la vie sauve que grâce à l’intervention de plusieurs chefs d’Etat africains. Et Moshood Abiola, vainqueur à la régulière de la présidentielle de 1993 qui finira par mourir en prison en 1996. L’année d’avant, le dictateur aux lunettes noires avait fait pendre l’écrivain Ken Saro Wiwa et ses compagnons militants des droits de l’homme.
Pour faire diversion et régler ses problèmes internes, il avait engagé son pays dans un conflit militaire avec le Cameroun par rapport à la péninsule de Bakassi, dont la souveraineté camerounaise avait été pourtant reconnue par le Nigeria dirigé par le général Gowon lors des accords de Maroua en 1975.
Alors que ses services de sécurité étaient déjà en place et qu’on l’attendait à Ouagadougou pour un sommet de l’organisation de l’unité africaine, l’annonce de sa mort le 8 juin 1998 avait surpris plus d’un. Officiellement, on avait parlé d’une crise cardiaque.
Mais selon le célèbre magazine nigérian Newswatch, il s’agissait plutôt d’un excès de Viagra alors que le dictateur était en plein ébat avec des prostituées Libanaises ou Russes. Selon Newswatch: « Le général Abacha, 54 ans, était connu pour apprécier la compagnie des prostituées. Une des rumeurs qui courent sur sa mort est qu'il a été pris de convulsions alors qu'il se trouvait au lit avec deux femmes. L'une d'elles serait sortie de la chambre en hurlant »…
Du côté de ses partenaires de la Junte militaire, sa mort avait été vécue avec soulagement. L'histoire révélera que, tel Joseph Staline, Abacha projetait de réaliser une purge en exécutant un certain nombre de ses compagnons.
Par Thierry Ngogang
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