Les États-Unis condamnent la violence persistante dans les RÉGIONS ANGLOPHONES DU
CAMEROUN, y compris le meurtre de deux gendarmes camerounais dans le village du Nord-Ouest de mbingo, un soldat Camerounais à l'extérieur de bamenda le 1 février, un officiel électoral des élections Cameroun (elecam) À Bangem, et les décès signalés de quatre civils à bemenda et à belo les 2 et 3. Février, nous présentons nos condoléances les plus sincères aux familles des victimes, ainsi qu'au peuple camerounais.Nous demandons également au gouvernement camerounais de respecter les droits de l'homme, y compris la procédure régulière, des 47 Camerounais renvoyés de force de la garde nigériane aux autorités camerounaises le 26 janvier, et nombre d'entre eux auraient soumis des demandes d'asile au Nigéria. . Nous exhortons les gouvernements du Cameroun et du Nigéria à s'acquitter des obligations qui leur incombent en vertu du droit international de s'abstenir de retours forcés aux demandeurs d'asile dans leur pays d'origine. Les 47 Camerounais sont maintenant détenus au Cameroun en raison de tensions et de violences dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Nous attendons du gouvernement camerounais qu'il s'offre à ces personnes et à d'autres personnes qui ont précédemment détenu tous les droits et protections consacrés par la constitution Camerounaise, conformément aux obligations et engagements internationaux de la nation.
Communiqué de presse
Heather Nauert
Porte-Parole du département
Washington, DC
5 février 2018
https://www.state.gov/r/pa/prs/ps/2018/02/277988.htm
The United States condemns the ongoing violence in Cameroon’s Anglophone regions, including the murder of two Cameroonian gendarmes in the North West Region village of Mbingo, a Cameroonian soldier outside of Bamenda on February 1, an electoral official of Elections Cameroon (ELECAM) in Bangem, and the reported deaths of four civilians in Bemenda and Belo on February 2 and 3. We offer our deepest condolences to the families of the victims, and to the people of Cameroon.
We also call on the Government of Cameroon to respect the human rights, including due process, of the 47 Cameroonians forcibly returned from Nigerian custody to the Cameroonian authorities on January 26, and many of whom had reportedly submitted asylum claims in Nigeria. We urge the Governments of Cameroon and Nigeria to adhere to their obligations under international law to refrain from forcible returns to asylum-seekers back to their countries of origin. The 47 Cameroonians are now held in detention in Cameroon allegedly in connection with tension and violence in North West and South West Regions. We expect the government of Cameroon to afford these and other individuals previously detained all the rights and protections enshrined in Cameroon’s constitution, consistent with the nation’s international obligations and commitments.
Press Statement
Heather Nauert
Department Spokesperson
Washington, DC
February 5, 2018
Heather Nauert
Department Spokesperson
Washington, DC
February 5, 2018
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