Lorsque des personnes éclairées, comme Jacques Ebwea Mbappe, Victoire Mavalse, Abdul K Cisse, Abobo Gare, moi, et les autres, mettions en garde sur la sortie irresponsable du franc CFA, nous fûmes traités de vendus à la France.
Aujourd'hui, les pays de la zone CFA de l'Afrique centrale, n'ont plus que deux semaines de réserves de devises pouvant couvrir leurs importations, et autres paiements extérieurs, y compris les salaires et l entretien de leurs missions diplomatiques, qui ne sont pas payés en CFA, mais en devises.
C'est le moment de contraindre la France,pour une première fois, à faire jouer la clause de la convertibilité illimitée du franc CFA, par rapport à l'euro, et par ricochet, transformer le CFA en devises, comme l'euro. C'est prévu par la convention.
La France, constatant pour la première fois, que les comptes d'opérations des pays du franc, pourraient une fois se retrouver tous au rouge, au trésor français, a manipulé certains africains et deux chefs d'Etat accomodants, à réclamer la souveraineté monétaire, pour se soustraire à ses obligations.
Je veux ici dire, que nous sommes pour une souveraineté monétaire, mais pas par romantisme, mais sur des bases de convergence économique solide.
L'heure est venue à la France de remplir ses obligations. Sortir, aujourd'hui du CFA, serait lui rendre un énorme service. Des naïfs sont tombés dans ce piège grossier.
Aujourd'hui, les pays de la zone CFA de l'Afrique centrale, n'ont plus que deux semaines de réserves de devises pouvant couvrir leurs importations, et autres paiements extérieurs, y compris les salaires et l entretien de leurs missions diplomatiques, qui ne sont pas payés en CFA, mais en devises.
C'est le moment de contraindre la France,pour une première fois, à faire jouer la clause de la convertibilité illimitée du franc CFA, par rapport à l'euro, et par ricochet, transformer le CFA en devises, comme l'euro. C'est prévu par la convention.
La France, constatant pour la première fois, que les comptes d'opérations des pays du franc, pourraient une fois se retrouver tous au rouge, au trésor français, a manipulé certains africains et deux chefs d'Etat accomodants, à réclamer la souveraineté monétaire, pour se soustraire à ses obligations.
Je veux ici dire, que nous sommes pour une souveraineté monétaire, mais pas par romantisme, mais sur des bases de convergence économique solide.
L'heure est venue à la France de remplir ses obligations. Sortir, aujourd'hui du CFA, serait lui rendre un énorme service. Des naïfs sont tombés dans ce piège grossier.
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